25/07/2014

Être bien.


Être bien. Ou si vous préférez: le bonheur.

Tout le monde court après un concept flou dont la définition change selon chacun(e). En plus, c'est souvent après l'avoir expérimenté qu'on le reconnait.

Je vais vous dire quelque chose; je termine à l'instant une journée que je peux noter comme étant une 9 sur une échelle de 10. Je pense qu'on peut parler d'une journée de bonheur. C'est à dire qu'à chaque fois où un besoin ou un désir montait à la surface de ma conscience, j'en expérimentais l'assouvissement dans un état de perfection équivalent à 9 sur 10. Ou si vous préférez, 9 sur 10 sur une échelle de perfection.

Qu'importe.

Quelques constats alors.

Le bonheur peut se répéter mais ne peux pas durer. Il n'y a pas une recette qui peut mettre l'être dans un état nirvanique et l'y laisser. La seule solution possible pour ceux et celles qui aspirent au bonheur, c'est-à-dire tout le monde, c'est de trouver la recette qui répète ce qui crée les états de 9 sur 10.

Mais ça se peut, ça se fait même tous les jours par certains.

Faut juste s'aider. Éliminer le négatif qui vient toujours faire son tour pour voir si on va lui ouvrir la porte. La colère et la culpabilité sont les pires qui s'invitent.

Et puis maximiser le reste. Il fait beau. Un plus. Vous êtes en congé et sur le bord d'un lac ? Deux plus.

La bouffe est bonne. Le vin flatte le palais. Je sais pas moi: vous jouez avec vos orteils et vous trouvez ça remarquablement plaisant ? Dix plus ! (pour les 10 orteils).

L'idée c'est qu'on fait son propre bonheur.

Soi-même.

En fait, le bonheur est toujours une décision. Jamais un accident.