Hier je me suis préparé une salade de saumon. Tomates longuement choisies. Parmesan chez l'Italien. Saumon frais. Câpres, évidemment. Vin adéquat.
Dehors le couché de soleil s'annonce d'anthologie. Ça va être sur le balcon. Et ça va être parfait.
Je lave, mélange et verse.
Je goûte au fromage; une merveille. Du parmesan corsé, pas râpé trop finement, en lanière plutôt. J'y goûte et les oh la la flottent sur mes papilles. Une merveille. Goûteux. Musclé.
Finalement j'ai mangé tout le parmesan à part.
Et j'ai eu l'impression ensuite qu'il manquait quelque chose à la salade ensuite.
Puis le ciel s'est ennuagé et j'ai perdu le soleil de vue.
Ensuite j'ai cassé mon verre de vin.
La grande morale de ce récit:
Il faut profiter des meilleures choses quand elles se présentent, parce que rien ne demeure à son niveau maximum de perfection bien longtemps.
Dehors le couché de soleil s'annonce d'anthologie. Ça va être sur le balcon. Et ça va être parfait.
Je lave, mélange et verse.
Je goûte au fromage; une merveille. Du parmesan corsé, pas râpé trop finement, en lanière plutôt. J'y goûte et les oh la la flottent sur mes papilles. Une merveille. Goûteux. Musclé.
Finalement j'ai mangé tout le parmesan à part.
Et j'ai eu l'impression ensuite qu'il manquait quelque chose à la salade ensuite.
Puis le ciel s'est ennuagé et j'ai perdu le soleil de vue.
Ensuite j'ai cassé mon verre de vin.
La grande morale de ce récit:
Il faut profiter des meilleures choses quand elles se présentent, parce que rien ne demeure à son niveau maximum de perfection bien longtemps.
Ah oui, il s'agit d'un des principes fondamentaux de l'école Parme-Sienne à la quelle on doit ce grand mouvement mieux connu de tout le monde sous le nom de Philosophie à la parmesane.
RépondreSupprimerIl me semblait qu'effectivement mes symptômes s'apparentaient à la Parmesantite aigüe...
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